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Chères amies, chers amis,
J’espère que cette newsletter vous trouvera en bonne forme. Aujourd’hui, j’ai le plaisir de partager avec vous quelque chose de spécial : les témoignages de quelques formatrices et formateurs qui ont choisi de s’investir au sein de notre association.
Ces témoignages, que vous découvrirez dans les pages suivantes, illustrent comment le fait d’animer cette formation a enrichi la vie de ces personnes, a été pour certains une aide précieuse par rapport à leur propre vécu et leur a permis d’aider à leur tour de nombreuses personnes qui vivent des situations identiques.
De Jeanne et Sophie, professionnelles de santé généreuses souhaitant aider et mieux comprendre les proches de borderline, à Pauline, Isabelle, Marc, Vincent et Jean Baptiste, qui ont des enfants touchés par le trouble, ces témoignages montrent la diversité des profils qui composent notre équipe de formateurs. Ils prouvent que chacun, quelle que soit son histoire ou sa profession, peut apporter une contribution précieuse à notre mission.
Comme je vous l’ai déjà dit, notre besoin en bénévoles ne cesse de croître. En effet, nous constatons une augmentation très importante du nombre de personnes qui s’inscrivent à nos formations. C’est une excellente nouvelle, car cela signifie que de plus en plus de familles trouvent le soutien dont elles ont besoin ou, du moins, ont pu mettre un nom sur ce dont souffre leur proche. Cependant, cela implique aussi que nous devons élargir notre équipe pour répondre à cette demande croissante.
Et ce n’est pas seulement des formateurs que nous recherchons. Connexions Familiales a besoin de vous dans divers domaines :
Alors que vous lirez ces témoignages, peut-être vous poserez-vous cette question : « Pourquoi pas moi ? ».
Que vous soyez un proche aidant qui a suivi notre programme ou un professionnel de santé, votre contribution pourrait être exactement ce dont notre communauté a besoin pour faire une réelle différence dans la vie de nombreuses familles. Connexions Familiales a toujours été plus qu’une simple association. C’est une communauté de soutien, un lieu d’apprentissage mutuel et de croissance personnelle. En vous engageant avec nous, vous ne ferez pas que partager vos connaissances ou vos compétences – vous continuerez aussi à apprendre, à grandir et à vous épanouir.
Je vous invite donc à considérer sérieusement cette possibilité.
N’hésitez pas à nous contacter pour en savoir plus sur les différentes façons de vous engager. Ensemble, nous pouvons continuer à faire grandir cette communauté bienveillante et à apporter des réponses et de l’espoir à tous ceux qui en ont un grand besoin.
Bonne lecture à tous,
Bernard le Mercier,
Président de Connexions Familiales
Puisque le président me le demande, je réponds Oui , bien volontiers, je veux bien expliquer pourquoi je suis devenu formateur du programme de psychoéducation de CF.
Le trouble TPL de notre fille Cécile, qui a 37 ans maintenant, a été , il faut bien le dire, au centre de ma vie, de ma vie de couple, de la vie de famille ; en résumé, Cécile, a pris une place prépondérante, exorbitante dans nos pensées, nos sentiments, nos décisions, nos choix de vie, mais aussi elle nous a donné de la force, tout ce qui ne nous tue pas nous rend fort !
Le diagnostic borderline a été posé tardivement, à l’âge de 26 ans, mais les manifestations de son désordre se sont amplifiées dès l’âge de 15 ans. Nous avons fait, au fil de l’eau, avec mon épouse, ce qui nous paraissait naturel, avec notre propre sensibilité, nos propres ressources psychiques, en un mot avec notre personnalité. Comment faire autrement ?
Cette question de comment faire autrement se pose quand on doit faire face à une dérégulation de l’humeur aussi sévère. Mais pour cela, encore faut-il connaître la nature de ce trouble, son origine, ses caractéristiques, les traitements, l’environnement adapté, en un mot comprendre, comprendre l’incompréhensible, l’inacceptable : voir son enfant se faire du mal, se mettre en danger, exploser, s’isoler, et comme cela arrive, de tenter de mettre fin à ses jours.
Un jour, le hasard nous a fait croiser, ma femme et moi, Connexions Familiales. L’échange que nous avons eu par mail avec sa fondatrice, nous disant que les montagnes russes que nous subissions quotidiennement à cause du trouble de notre fille était monnaie courante, c’ était le lot de tant et tant de parents à qui CF tente d’apporter des réponses et du réconfort, a été paradoxalement un soulagement, une libération. Non, nous n’étions pas un cas isolé, notre fille n’est pas « méchante », elle est malade, victime d’une pathologie mal connue mais pourtant très répandue.
Nous avons donc suivi la formation de CF, en présentiel à Versailles, et depuis deux ans nous avons pris Sylvie et moi le relais, pour offrir à des parents ce que nous avons reçu. Ce programme, c’est un guide, qui expose des principes, si simples à comprendre, mais si difficiles à appliquer parce qu’ils semblent aller à contrecourant d’une éducation « normale ».
Quoi de plus naturel en somme de réprimander l’enfant qui désobéit, lui interdire ce qui n’est pas de son âge, de vouloir le mettre sur de bons rails, influencer ses fréquentations, le contraindre quand il le faut bien, être cohérent dans ses principes, ne pas se laisser déborder, trouver des solutions que l’enfant accepte parce qu’il nous fait confiance, autant de choses spontanées qui me viennent à l’esprit mais qui se révèlent inefficaces voire contreproductives avec l’enfant Borderline !
Alors, jeune retraité, j’ai voulu transmettre ce que j’ai découvert avec CF : la prise de conscience des réponses utiles, efficaces, à apporter à son proche TPL est une délivrance pour les dizaines de parents que j’ai eu la chance de rencontrer au cours des sessions que j’ai animées.
J’emploie le mot animer, car il ne s’agit pas d’un cours magistral diffusé par un « Sachant » à des étudiants, mais il s’agit de mettre en commun des expériences, partager le vécu de chacun et de pointer ce qui marche, et ce qui ne marche pas.
Le moment fort de la formation c’est le tour de table, qui révèle à chacun qu’il n’est pas seul, qu’il est compris des autres, un climat de sympathie, d’empathie se crée, et ne nous quitte pas. Nous devenons, en partageant nos tempêtes, presque des amis, et il n’est pas rare de voir les groupes maintenir du lien entre eux, pour se donner des adresses de soignants, se partager des documents, et se soutenir dans des moments de grande détresse.
Le programme se révèle efficace quand les exercices, les jeux de rôle illustrent les réactions si souvent observées par nos enfants rebelles, ils nous font rire de nous-mêmes !
Bien sûr, cette formation ne fait pas de miracle, n’empêche pas les participants de refaire les mêmes erreurs, d’être tristes de leur impuissance, mais elle est une source d’espoir, car on y apprend l’acceptation, la déculpabilisation, la prise de distance, l’approbation de ce qui a de la valeur chez notre enfant, la tolérance devant des choix qui ne sont pas les nôtres.
Je peux dire que je suis revenu joyeux de chaque session animée, profondément, heureux et fier d’avoir cette chance de partager ce que je sais, et de m’émerveiller devant les ressources déployées par des parents en souffrance, en quête de mieux faire, de mieux aimer leurs enfants, qui, on le rappelle, souffrent encore davantage.
Après avoir suivi le parcours Connexions Familiales en tant que proche de personne souffrant du trouble de la personne limite, j’ai décidé de m’engager comme formatrice à mon tour, pour donner, à ma petite mesure, ce que j’ai moi-même reçu : des éclairages accessibles et passifiants sur ce trouble, des clés concrètes d’adaptation comportementale pour mieux entrer en relation avec notre proche et favoriser sa stabilisation, et des échanges entre pairs à la fois simples et profonds, propices au soutien et à la compréhension mutuels si précieux dans un monde où les troubles psychiques sont encore à apprivoiser…
En devenant formatrice, j’ai été formée et donc, confirmée dans ce que j’avais reçu, comme une relecture de tout le parcours à nouveaux frais, avec d’autres futurs formateurs. Ce fut une grande chance pédagogique, car il n’est pas inutile d’écouter deux fois pour transformer sa façon de voir et d’agir avec notre proche.
La première formation ensuite s’est très bien passée, car le système de binôme : un formateur aguerri / un formateur débutant fonctionne efficacement, dans la bienveillance mutuelle et la coopération étroite. Les préparations des séances se sont faites de façon rapide et fluide, sans ajouter de temps inutile aux séances elles-mêmes.
Et bien sûr, le must des must : la chance de faire des rencontres de grande qualité, de se sentir utiles et de recevoir tant de gratitude pour un peu de temps donné, et le privilège de continuer de cheminer, l’air de rien, séance après séance, parce que le formateur reçoit à chaque fois un peu plus, en exemples de situations à gérer, en partages de trouvailles et de victoires vécues, en éclairages des théories et approches exposées.
Alors… vous nous rejoignez quand ?
Avec mon épouse Muriel, parents d’une fille TPL borderline, nous avons vécu de nombreuses années d’errance, de recherches par nous-mêmes avec souvent un sentiment d’abandon… Connexions Familiales n’existait pas.
Alors quand l’opportunité de cette formation a émergé, Muriel a tout de suite répondu « Oui » et s’est engagé à fond ; conformément à mon caractère plus lent, il m’a fallu un peu plus de temps !
Je garde un très beau souvenir de mon expérience de formateur en binôme avec Amaury, le fait d’être en binôme a été très important et rassurant pour moi. Avec la visio, nous avons pu rejoindre des personnes éloignées (à l’étranger !) qui n’auraient pas pu faire une formation présentielle, et j’ai senti toute l’utilité de ce mode de formation, même s’il a es côtés moins confortable que le présentiel.
Le partage des expériences de chacun, à la fois diverses et semblables, est toujours un moment très fort de fraternité concrète face à l’épreuve et en même temps d’espérance que « cela peut aller mieux ».
Depuis, j’ai diversifié mon engagement dans l’association (au travers du site web), tout le monde a sa place pour s’engager pour un mieux-être des familles de personnes touchées par le trouble borderline !
Engagez-vous !
Il y a des moments dans la vie où l’on se retrouve propulsé dans un endroit qu’on n’avait jamais envisagé. C’est exactement ce qui m’est arrivé : 51 ans, vivant une vie plutôt ordinaire à Versailles, ingénieur directeur de projets dans une boîte de conseil à Paris, marié, avec deux adolescents. Tout semblait aller pour le mieux, jusqu’à ce qu’un événement vienne bouleverser notre quotidien il y a deux ans.
D’un côté, notre aîné traversait une crise d’adolescence qui mettait notre patience à rude épreuve. Du classique … De l’autre, notre cadet semblait suivre un chemin plus tranquille. Du moins, c’est ce que nous pensions, jusqu’à cet évènement qui a remis beaucoup de choses en question.
Oui, un soir, tout a basculé. Un appel de la psychologue de notre fils cadet nous a fait l’effet d’un électrochoc : il devait être hospitalisé d’urgence pour des pensées très sombres, avec possibilité de passage à l’acte. Ce fut le début d’une série d’événements angoissants : plusieurs hospitalisations, des rendez-vous avec des psychiatres, et finalement, un diagnostic qui a tout changé : borderline. Ce mot, prononcé avec précaution vu le jeune âge de notre fils, nous a d’abord laissés sans voix.
C’est alors qu’une lueur d’espoir est apparue sous la forme du programme Connexions Familiales. Sur les conseils d’un médecin psychiatre, ma femme et moi nous sommes lancés dans cette formation de 11 semaines. Ce fut une véritable révélation qui a transformé notre façon de communiquer et nous a permis de mieux comprendre les défis auxquels notre fils était confronté.
Je ne remercierais jamais assez Marie et Bernard d’avoir été là, à ce moment là, d’avoir eu cette écoute, et au final de m’avoir sorti du trou, tout en me donnant beaucoup d’espérance … Au bout de ces 11 semaines, je me sentais assez fort pour être là quand mon enfant en avait besoin, tout en prenant soin du mieux possible du noyau familial, grâce aux compétences acquises.
L’impact de cette formation a été si profond que je ne pouvais pas rester les bras croisés. J’ai décidé de devenir formateur à mon tour, pour partager cette expérience qui nous avait tant aidés. Cette nouvelle activité est devenue une partie importante de ma vie, en parallèle de mes responsabilités professionnelles.
Devenir formateur peut sembler intimidant, mais c’est en réalité très accessible. Cela demande quelques heures de préparation par semaine, un engagement qui s’intègre étonnamment bien dans une vie déjà bien remplie. On est bien accompagné, avec de nombreuses ressources à disposition. Les bénéfices sont immenses : chaque session apporte son lot de découvertes et de satisfactions, et on apprend autant qu’on enseigne.
Si mon histoire vous parle, si vous avez vécu des expériences similaires, pourquoi ne pas envisager de rejoindre l’aventure Connexions Familiales ? L’engagement est flexible, enrichissant et profondément humain. Les besoins en formateurs sont réels et croissants, et chaque contribution peut faire une réelle différence.
Mon seul regret dans tout cela ? Ne pas avoir découvert cette association plus tôt. Mais comme on dit, mieux vaut tard que jamais. Chaque rencontre est une aventure, chaque session, une leçon de vie. Et chaque histoire partagée renforce ma conviction que l’écoute et la compréhension mutuelle sont essentielles pour traverser les moments difficiles.
Ce parcours, né d’une crise que je n’aurais jamais imaginée, a enrichi ma vie de manière inattendue et profonde. Si vous vous sentez perdu face à des difficultés similaires, rappelez-vous que parfois, les plus grandes épreuves peuvent ouvrir la voie à des chemins surprenants et enrichissants. C’est ce que je vis chaque jour en étant actif au sein de l’association Connexions Familiales.
J’ai eu le plaisir d’être formatrice à trois reprises déjà pour Connexions Familiales, aux côtés de Marc et de Sylvie. En tant que psychologue, cette expérience a été une source de grande joie.
Bien que les sujets abordés puissent être difficiles, cela s’est toujours fait avec bienveillance et un trait d’humour.
Rencontrer les proches de personnes vivant avec un trouble borderline m’a ouvert à des perspectives nouvelles et des réalités différentes de celles de mes patients.
J’ai été profondément touchée par leur détermination à mieux comprendre et soutenir leurs proches, ainsi qu’à développer de nouveaux outils. J’ai ressenti que ces interactions nous ont réciproquement énormément apporté . Être formatrice dans ce cadre est une très belle expérience, que je poursuivrai dans l’avenir.
Qui suis-je ?
Je suis Sophie, pédopsychiatre dans le service public.
Pourquoi je me suis engagée ?
C’est grâce à un ami que j’ai appris l’existence de l’association avant 2020. Mais comme j’étais à plusieurs centaines de km, c’est la crise COVID qui m’a permis de participer en tant qu’observatrice puis co-animatrice des sessions en visio depuis mon canapé.
La phase d’observation m’a beaucoup plu donc j’ai voulu continuer l’aventure. Je la conseille à tous les professionnels de santé, surtout en début de parcours, mais aussi tout au long de la vie comme une forme de formation continue!
Qu’est-ce que cela m’a apporté ?
J’ai beaucoup appris des familles. Cela m’a vraiment permis de reconnaître la force, la créativité et la vivacité des proches aidants qui veulent s’engager pour les autres. Mais j’ai aussi pu reconnaître un état d’épuisement chez certaines familles, qui ne sont pas assez reconnues comme sujet d’attention par de nombreux professionnels de santé.
J’ai donc, grâce à ce programme, changé ma façon d’accompagner les familles dans mon travail.
Cela ne m’a pas rendue plus naïve, car malheureusement certains liens familiaux ne sont pas aidants et chacun est parfois plus heureux en prenant de la distance. Cela m’a toutefois permis de reconnaître que l’agressivité ou l’indifférence qui manifestent la fatigue du lien sont parfois des étapes vers un mieux qui nécessite un soutien de chacun.
Je suis étonnée qu’à chaque groupe, plusieurs parents nous disent qu’au bout des 10 séances, leur enfant va mieux et eux aussi.
La prochaine étape logique me paraîtrait être la création d’une association de personnes atteintes d’un TPL, pour défendre leurs droits et déstigmatiser ce trouble.
S’ils m’invitent, je serais ravie d’y réfléchir avec eux.
En tout cas, Connexions Familiales est une très bonne école pour les professionnels curieux, en plus ils sont très sympas.
Tout bénéf!
Vous hésitez à devenir formateur ? Voici quelques réponses à vos doutes !
1. « Je ne suis pas un expert »
– Pas d’inquiétude, vous ne serez pas laissé sans soutien ! Une formation de formateurs vous sera proposée dans un premier temps
– Vous serez entouré de personnes expérimentées, avec accès à de nombreux documents et ressources.
– Votre rôle principal sera de partager votre expérience personnelle et d’accompagner les participants.
– Un formateur chevronné sera là pour vous épauler sur les sujets moins familiers.
2. « Je ne suis pas sûr d’avoir le temps »
– On comprend bien que les emplois du temps peuvent être chargés. La flexibilité est de mise !
– L’engagement demandé est de participer à 11-12 séances (une session). En cas d’imprévu, on s’arrange.
– Chaque séance dure environ 2 heures, plus entre une et deux heures de préparation et de débriefing avec vos co-animateurs( trices)..
3. « Je ne suis pas formateur professionnel »
– Pas de panique ! Des formateurs experts vous guideront et vous donneront des astuces.
– L’essentiel est votre envie de partager comment vous avez appliqué les enseignements du programme.
– L’aisance à parler en public, ça se développe. Tout le monde débute un jour !
4. « Je ne suis pas sûr d’être disponible sur toute l’année »
– Pas besoin d’être disponible en continu. On se concentre sur les sessions auxquelles vous vous engagez.
– La vie est pleine de surprises, on le sait. On discutera de vos disponibilités avant chaque nouvelle session.
5. « Il y a trop d’informations à donner »
– C’est vrai que le programme est vaste, mais il suffit de suivre les supports de formation faits par des spécialistes
– Un formateur expérimenté vous conseillera sur les points essentiels à aborder.
– Il existe des techniques sympas pour gérer vos notes discrètement pendant les présentations.
6. « J’ai peur de dire des bêtises sur le médical »
– Pas de souci, vous n’aurez pas à jouer les médecins ! Votre rôle n’est pas de donner des avis médicaux.
– Pour les questions médicales, on a une carte Joker, sauf s’il y a parmi nous un professionnel de la santé
7. « Je ne sais pas si je pourrai répondre aux proches s’ils sont en détresse »
– Et il y a quelques techniques à connaître (que nous vous donnerons) qui vous aideront dans ces moments difficiles
– Pour les cas de forte détresse, nous avons des possibilités d’orienter les personnes vers un soutien professionnel adapté.
Alors, ça vous tente de vous lancer dans l’aventure ?
Nous relayons aujourd’hui une initiative cruciale du Collectif Santé Mentale Grande Cause Nationale 2025.
Lancée par un collectif de 20 acteurs représentant plus de 3000 structures, cette pétition vise à faire de la santé mentale une priorité nationale.
Pourquoi cette pétition est importante ?
Santé mentale et santé physique sont indissociables. Pourtant, la santé mentale reste mal comprise, stigmatisée et souvent négligée. Les crises récentes – sanitaire, économique, géopolitique, environnementale – ont exacerbé les problèmes de santé mentale, notamment chez les jeunes. Il est urgent d’agir.
Objectifs de la Grande Cause Nationale
Vous trouverez les 25 points pour renforcer la prévention, l’accessibilité, et l’efficacité en santé mentale qui sont en proposition à l’Assemblée nationale.
Votre soutien est essentiel.
Signer cette pétition est un geste simple mais puissant pour transformer notre approche de la santé mentale. Ensemble, nous pouvons faire évoluer les mentalités, améliorer les prises en charge et soutenir les initiatives innovantes déjà existantes sur tout le territoire.
Nous vous encourageons vivement à signer la pétition et à partager cette initiative avec votre entourage.
Faisons de la santé mentale une priorité pour 2025 et au-delà.
Ensemble, refusons la fatalité et faisons de la Santé mentale la prochaine Grande cause nationale !
👉 Pour en savoir plus, retrouvez ici la proposition de résolution pour ériger la santé mentale en grande cause nationale, présentée à l’Assemblée nationale le 26/04/2024.
Pourquoi nous soutenir?
Connexions Familiales est un programme qui s’adresse aux proches (parents, conjoints, proches adultes) d’adolescents ou d’adultes souffrant de dysrégulation émotionnelle ou de troubles de la personnalité limite (TPL). L’objectif est d’aider les proches à acquérir une meilleure compréhension de l’être cher, à améliorer leurs connaissances et leurs compétences face aux difficultés psychiques et aux difficultés relationnelles qu’elles entraînent.
Le but est de leur permettre de regagner un regard positif sur eux-‐mêmes, sur leurs capacités à être dans un lien constructif avec leur proche et à en prendre soin, de diminuer la tristesse, la colère et le sentiment d’impuissance.
🙌 Les dons donnent droit à un REçU FISCAL POUR DON. (Article 200 du Code Général des Impôts)
👉 Pour adhérer à l’association, utiliser le formulaire d’adhésion
Rejoignez l’aventure de Connexions familiales : votre aide est précieuse !
Chez Connexions familiales, nous croyons en la puissance des liens humains pour créer un avenir meilleur.
Hotline, formateur, communication… Aucune expérience spécifique n’est requise, juste une envie de contribuer et de rejoindre notre équipe.
Pour plus d’informations, contactez-nous 😊
L’équipe de Connexions familiales